Explications du fonctionnement

Une alliance ne se réalise pas avec n'importe quel état. C'est l'approbation d'une grande entente ainsi que d'accords commerciaux et territoriaux fructueux qui ont donné le jour à une confiance fraternelle entre deux factions étrangères.

Avant de demander une alliance, il est préférable de gagner la confiance de votre interlocuteur. N'hésitez pas tout d'abord à lui proposer des accords commerciaux. Cela stimule l'économie et, à moins que votre nation ne soit en déficit, ce qui poserait des problèmes avec votre partenaires, ils seront généralement acceptés.

Ensuite vient la proposition d'informations de cartes. Et c'est là que le jeu va devenir interressant. Les pays pourront s'étendre mais les autres se demanderont bien justement où se sont ils étendus. Seule solution pour le savoir: demander les informations de cartes. Elles seront refusées si:

- vous êtes potentiellement dangereux (inutile de fournir des informations supplémentaires à l'ennemi)
- vous étiez récemment en guerre avec l'état en question
- vous avez des rivalités avec lui
- votre offre ne présent aucun interet (si aucun signe manifeste ne montre que vous avez soit gagné, soit perdu du territoire.

Comme je ne connais pas exactement les informations précises de chaque état à l'époque, j'ai trouvé un système plutôt interressant: vous n'aurez au début du jeu que les informations territoriales de vos états frontaliers. Ainsi, le Portugal ne connaîtra que l'étendu du territoire espagnol. (ceci dit, les portugais à l'époque se doutait bien que l'espagne s'étendait sur presque toute l'ibérie à la fin de la reconquista... Ce sera à vous de faire preuve de jugeote!


Pour revenir aux alliances, une fois que tous ceci est fait, il est préférable d'attendre. Attendez d'être vraiment en confiance avec l'état choisi. Méfiez vous, car il se peut que, si vous donnez trop tôt les accords de passage, l'état en question vous trahisse. C'est pourquoi tout ceci (plus haut) est nécéssaire. Libre à vous de respecter ces démarches ou pas mais il ne faudra pas venir pleurer après.