Monde Imperial
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Message  Empire Aztèque Dim 22 Fév - 6:18

Le peuple aztèque s'est lui-même désigné, dans sa langue (le nahualt), par plusieurs ethnonymes différents :

- Azteca (« ceux d'Aztlan ») a servi à désigner, selon les chroniques indigènes et espagnoles, le peuple aztèque jusqu'à son départ d'Aztlan et même pendant au moins une partie de sa migration. Ce terme pouvait être accompagné d'autres noms en rapport avec ce territoire originel, comme Chicomoztoca (« de Chicomoztoc ») ou Teocolhuaca (« de Teocolhuacan »).

- Mexitin (« ceux de Mexitl ») fut, selon les légendes retranscrites dans les codex et les chroniques indigènes, le nom que leur donna leur dieu tribal Huitzilopochtli pendant leur migration d'Aztlan à Mexico.

-Mexica Tenochca (« ceux de Mexico-Tenochtitlan »), ou plus généralement Mexica, servit à les désigner à partir de leur sédentarisation définitive à Mexico.

Les chroniques espagnoles du XVIe siècle ont le plus souvent traduit indifféremment les termes Mexitin et Mexica par Mexicanos (« Mexicains »).


L'État Aztèque



Organisation et fonctionnement de l'Empire aztèque



L'Empire aztèque est divisé en 38 provinces plus ou moins assujetties, qui constituent des cadres économiques et de perception du tribut. Il est composé de plusieurs ethnies différentes les unes des autres, dont certaines ne parlent pas le nahuatl. Il ne formait pas un ensemble territorial cohérent : par exemple, la région méridionale et périphérique de Xoconochco ne se trouve pas en contact direct avec le centre de l’empire. Tlaxcala au centre, Metztitlan au nord et Teotitlan au sud, sont des enclaves indépendantes à l'intérieur de l'empire aztèque. Les frontières de ses trois enclaves sont surveillées par des garnisons et protégées par quelques fortifications comme à Oztoman.

L’Empire aztèque est de nature informelle ou hégémonique car il n’exerce aucune autorité suprême sur les territoires conquis et n’attend que le tribut soit payé : balles de coton, plumes de quetzal, mesures d'or, vêtements précieux, etc. Après leur défaite, les chefs héréditaires sont en général restaurés dans leur fonction de commandement et les Aztèques n’interviennent pas dans les affaires locales, pourvu que le tribut soit honoré. Les cités-états doivent toutes renoncer à leur politique militaire et célébrer le culte de Huitzilopchtli. Bien des cités-états (altepetl en nahuatl) conservent une relative autonomie de fait au sein de la confédération. Elles sont l’un des rouages de la domination hégémonique des Aztèques sur les autres peuples de l'Amérique Centrale. Les gouverneurs aztèques (tlacatecuhtli, « chef des guerriers ») résident dans les provinces sensibles.

Le tribut doit être acquitté entre une et quatre fois par an selon sa nature. Il est levé par un fonctionnaire (calpixque) aidé d'une équipe de scribes. Le tribut est en nature : il est souvent composé de coton ou de l’ixtle (fibre d’agave). Mais il peut également être fourni en, produits agricoles, en métaux, en turquoises, en bois, en animaux, en vêtements et en objets divers. La monnaie n'existe pas, mais le quachtli et son multiple la charge fait office d'étalon. L'ensemble des impôts est entreposé dans le trésor (petlacalco) du palais impérial.


Structures socio-politiques



La famille et le lignage constituent la base de la société aztèque. Les familles nobles se définissent par rapport à un passé mythique : elles descendraient du dieu Quetzalcoatl. Certains lignages affirment se rattacher à des ancêtres toltèques.

Le calpolli (du nahuatl calpōlli signifiant « grande maison » ; autre mot : tlaxilacalli) est une unité politique composée de plusieurs groupes familiaux formant un réseau social. La nature exacte du calpolli n’est pas tout à fait claire et a pu être assimilée à un clan, une ville, un quartier, une paroisse ou coopérative agricole. Le calpolli est sous l’autorité d’un chef local (calpōleh) qui répartit les terres pour l’agriculture (calpōllālli) ou encore les tâches non-agricoles, en échange d’un tribut et de la fidélité. Chaque calpolli envoie des délégués au conseil suprême et possède un temple où le culte de la divinité protectrice est rendu, ainsi qu'une école appelée telpochcalli dans laquelle les jeunes garçons s’entraînent aux arts martiaux. Dans certaines cités-états du monde aztèque, les calpollis sont spécialisés dans le commerce, comme Otompan, Texcoco et Tlatelolcol ; ces organisations aztèques peuvent faire penser aux guildes de l’Europe Médiévale. Enfin, d’autres capollis regroupent des immigrants venus d’autres régions de la Mésoamérique : à Tenochtitlan les calpollis d’Otomis, de Mixtèques et de Tlapanecs.

L’altepetl est une cité-état regroupant plusieurs calpollis et dirigée par un tlatoani. Le mot désigne donc un territoire soumis à l’Empire aztèque mais aussi sa population. Ces cités-états concluent des alliances, comme celle qui unis Tlacopan, Texcoco et Tenochtitlan contre Azcapotzalco.


Tlatoani



Le mot « tlatoani », désigne le souverain aztèque, peut être traduit par « celui qui parle » du verbe nahuatl « tlatoa » (« parler »)) ou « celui qui commande ». Pour le désigner, les Espagnols, qui tentent d'adapter cette fonction à leurs références européennes, emploient le mot « empereur ». Lorsqu'il est représenté dans les manuscrits indigènes, on le distingue entre autres par la volute qui se dégage de sa bouche et qui indique la parole. Il porte un diadème d'or et de turquoises ainsi qu'un manteau bleu-vert. Tous les Tlatoanis aztèques sont issus de la même famille. La succession ne se faisait cependant pas nécésssairement de père en fils. Frères, neveux ou petits-fils entraient en ligne de compte. Les chroniqueurs espagnols ne s'accordent d'ailleurs pas sur l'ordre suivi. Aux débuts de l'histoire aztèque, il était désigné par l'assemblée générale des guerriers. À la veille de la conquête espagnole, son pouvoir était devenu semi-divin mais il était choisi par un grand conseil. Cette assemblée désignait le membre de la famille qu'elle jugeait le plus compétent. Ce choix devait être approuvé par les autres membres de la Triple Alliance, c'est-à-dire les souverains de Texcoco et de Tlacopan. L'intronisation proprement dite n'avait lieu qu'après que le souverain eut fait preuve de ses capacités en menant une série de conquêtes. L'empereur devait remplir ses devoirs envers les dieux et protéger le peuple aztèque. Moctezuma Ier avait choisi son frère Tlacaeleltzin comme une sorte de vice-empereur avec le titre religieux de Ciuacoatl. Ce dernier organisait des expéditions armées, jugeait en appel, remplaçait l’empereur absent. Après mort de Tlacaeleltzin, la fonction est occupée par son fils puis son petit-fils. Le Cihuacoatl et les grands dignitaires étaient ses conseillers intimes. Il avait en charge tout ce qui concernait les affaires extérieures à la cité. À Texcoco, le tlatoani régnait sans cihuacoatl mais était entouré de quatre conseils : gouvernement et justice, finances, guerres et musique.


Cihuacóatl



Le Cihuacóatl, dont le nom signifie littéralement « serpent-femme » et qui représente la divinité du même nom, est le deuxième personnage de l'État aztèque après le Tlatoani. Son rôle était limité à la sphère de la cité. Tlacaelel est le personnage le plus célèbre à avoir exercé cette fonction. Il fut le principal conseiller des empereurs Itzcoatl, Moctezuma Ier (son frère) et Axayacatl.


Tlacocan



Le Tlacocan (« lieu de la parole »), ou Grand Conseil, est consulté avant toute décision importante et peut refuser jusqu'à trois fois une proposition de l'empereur. Ses membres sont désignés par le souverain ou recrutés par cooptation.


Grands dignitaires



On y trouve les chefs de l'armée avec aux premières places le tlacateccatl (« qui commande les guerriers ») et le tlacochocalcatl (« préposé à la maison des javelines »).


Fonctionnaires



Moins importants que les précédents, ils s'occupent des différentes tâches administratives concernant la police, les greniers et magasins où s'entasse les tributs. Le uey calpixqui (que les Espagnols traduisaient par « grand majordome ») servait à la fois de préfet de la capitale et de ministre des finances.


Dernière édition par Empire Aztèque le Dim 22 Fév - 22:33, édité 1 fois
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Message  Empire Aztèque Dim 22 Fév - 9:04

Société



À l'origine, la structure tribale des Aztèques, avant que ces chasseurs-cueilleurs chichimèques ne se sédentarisent, était égalitaire, et basée sur l'existence de clans. En revanche, au moment de la conquête espagnole, la société était fortement hiérarchisée.


Aristocratie



Au sommet de la pyramide sociale, on trouve les « tecuhtli » ( « dignitaires », « seigneurs »), que les chroniqueurs espagnols appelle généralement « caciques ». En principe élus à des fonctions administratives, militaires ou religieuses, ils sont généralement désignés à vie par leurs concitoyens, mais toujours avec l'aval du pouvoir central qui doit confirmer ce choix et les nomme parfois même directement. Pour assurer les frais souvent élevés de leur fonction, ils bénéficient des revenus des terres qui leur est attribuées et recoivent en outre une part des tributs prélevés sur les peuples de l'empire. Ils ne payent pas d'impôts.

Au moment de l'arrivée des Espagnols, ce groupe est en voie de devenir une « noblesse » héréditaire : leurs enfants font automatiquement partie des « pipiltin » (sing. « pilli »). À ce titre, ils sont exemptés d'impôt et ils ont accès aux meilleures écoles, appelées « calmecac ». Comme ces écoles forment les prêtres (« tlamacazqui »), les pipiltin représentent donc également l’essentiel de la hiérarchie religieuse, même si la prêtrise est accessible aux membres des classes inférieures. Comme l'État aztèque est essentiellement militariste, les charges les plus prestigieuses sont militaires et seuls peuvent y aspirer ceux qui se sont distingués au combat. De plus, s'ils ne se distinguent pas du tout à la guerre, les pipiltin peuvent perdre leur rang.


Les prêtres



Les prêtres sont exemptés d'impôts et menent une vie célibataire, rythmée par les jeûnes, les rituels et les pénitences. Ils recoivent leur formation dans le calmecac. Ils ont un rôle social en s'occupant des hôpitaux et en gardant les livres sacrés. Le clergé recoit de nombreuses offrandes gérée par un trésorier général (tlaquimiloltecuhtli). Le clergé est ouvert aux femmes et hiérarchisé : les temples de quartiers sont confiés à de simples desservants. Les provinces sont sous la responsabilité de prêtres supérieurs. À Tenochtitlan, le Mexicatl Teohuatsin est une sorte de vicaire général. Enfin, deux grands-prêtres s'occupent du grand temple de la capitale.


Le peuple



Les macehualtin (sing. macehualli), c'est-à-dire les gens du commun, forment la majorité de la population. Ils sont astreints au service militaire et aux corvées, ils doivent payer l'impôt. Groupés en calpulli (l'unité sociale de base), ils exerçent différentes fonctions : artisans, artistes, paysans. Les terres appartienent collectivement aux calpulli et chaque famille en recoit une parcelle en usufruit. Comme ils accomplissent un service militaire, il existe une certaine mobilité sociale : le guerrier qui se distingue au combat en faisant quatre prisonniers pouvait s'élever dans la hiérarchie sociale. Les prouesses guerrières donnent par exemple le droit de porter tel ou tel type de vêtements. La tenue vestimentaire permet en effet de distinguer la place d'un individu dans la hiérarchie sociale : si tous portent le même vêtement, à savoir une cape ou manteau appelé tilmatli, celui des macehualtin était en fibres de maguey, alors que les pilli portent une cape en coton. Le tilmatli des pilli descend jusqu'aux chevilles, alors que celui des macehualtin ne descend que jusqu'aux genoux. Les artisans, appelés « Toltèques » sont organisés en corporations et ont leurs propres dieux et lieux de culte.

Au-dessous des macehualtin, existent une catégorie de déclassés appelés mayeque, qui ne font partie d'aucun calpulli et cultivent les terres des seigneurs. Un macehual qui ne remplis pas ses obligations est susceptible de régresser dans cette catégorie. Les paysans sans terre (tlalmaitl) ne sont pas des citoyens aztèques : ils ne payent pas l'impôt mais doivent le service militaire.


Esclaves



L'esclavage existe chez les Aztèques : ils appartient à un maître et n'ont aucun droits civiques. Certains esclaves, capturés à la guerre, sont destinés à être sacrifiés. Les autres, appelés tlatlacotin, peuvent le devenir pour des raisons diverses : pour avoir commis un délit, ou encore parce qu'ils se sont vendus eux-mêmes ou ont été vendus par leurs parents, lors d'une famine par exemple. Ils sont bien traités, certains possédent des biens, des terres et même d'autres esclaves. Ils peuvent se marier et leurs enfants sont libres. Ils peuvent acheter leur affranchissement ou être libéré à la mort de leur maître. Les empereurs peuvent décider d’affranchissements massifs. Au moment de la vente d'esclaves si certains fuit aucun garde n'a le droit de les rattraper. S'ils franchissent la porte du palais ils sont libres.


Marchands



Il existe enfin une catégorie particulière, celle des marchands appelés pochteca, qui fournissent Tenochtitlan en produits exotiques. Ils forment des caravanes et partent pour des expéditions lointaines jusqu'à l'isthme de Tehuantepec. Ils habitent leurs propres quartiers, se marient à l'intérieur du groupe et ont leurs propres tribunaux. Servant souvent d'espions (naualoztomeca), ils sont également appelés à combattre dans les lointaines contrées hostiles où ils s'aventurent. Leur position sociale et ambiguë. Le caractère semi-militaire de leurs activités leur confére des avantages sociaux par rapport aux macehualtin : ils ont certes le droit de porter des bijoux en or et des vêtements luxueux lors de leurs fêtes, mais en dehors de ces circonstances exceptionnelles, ils doivent conserver une attitude humble pour ne pas heurter les pilli. Leurs enfants peuvent fréquenter le calmecac, collège réservé à l’aristocratie.

Les commerçants jouissent de grands privilèges politiques et économiques. Mais ils sont mal jugés s’ils font étalage de richesse et de gloire. On attend d’eux un comportement « humble » et parfois les biens des commerçants riches sont confisqués par l’État. Les marchands sont dispensés du service personnel et de la participation aux travaux publics organisés par l’État. Si l’on compare cette situation avec celle qui régne chez les Incas, on s’aperçoit que chez ces derniers la production est plus strictement organisée par le pouvoir central et que cette économie centralisée ne laisse guère place au développement d’une classe de marchands.

Le pochtecatlatoque est un dignitaire, généralement le plus âgé des pochteca, chargé d'organiser le commerce et d'administrer les marchés. Quant aux tlatlani, ils sont spécialisés dans la traite des esclaves et sont très riches.
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Message  Empire Aztèque Dim 22 Fév - 22:40

Économie aztèque



Agriculture



La prospérité de la civilisation aztèque repose en grande partie sur une agriculture efficace qui permet de nourrir des millions d’individus. Les Aztèques ont d’abord pratiqué une agriculture vivrière pluviale qui s’est améliorée progressivement. Ils ont conquis de nouveaux terroirs en aménageant des terrasses sur les pentes, au moyen de murets en pierre. Dans les vallées et les bassins, les paysans aztèques maîtrisent les techniques de l’irrigation. Ils ont su reprendre, étendre et améliorer le système des canaux et des digues des civilisations précédentes. Une grande partie des eaux de la Cuauhtitlan ont notamment été détournées vers les champs. Dans les régions marécageuses du Lac Xochimilco, les Aztèques ont créé de nouvelles terres cultivables appelées chinampas, sortes de jardins flottants. Pour cela, ils prélevent de la boue dans le fond du lac qu’ils déposent sur de larges radeaux constitués de branches et de végétaux coupés. Ces îlots artificiels sont séparés par des canaux étroits qui permettent aux paysans de circuler en canots et en pirogues. Ces chinampas sont très fertiles et peuvent produire plusieurs récoltes par an. Les villes possédent également de petits champs et des jardins : chaque famille peut ainsi faire pousser du maïs, des fruits, des plantes médicinales.

Parmi toutes les plantes cultivées par les Aztèques, le maïs est l’une des plus importantes et constitut l’essentiel de leur alimentation (tortilla). Cette céréale est cultivée dans les terrasses des hautes terres, dans les vallées et dans les chinampas.

Les autres productions agricoles de l’Empire Aztèque sontt l’avocat, les haricots, les courges, les patates douces, les tomates, l’amarante, le piment. Dans les régions littorales tropicales poussent le coton, le cacao et le caoutchoutier.


Commerce



Dans la société aztèque, le commerce est extrêmement développé. Une circulation de biens entre les hautes terres productrices de maïs, de haricots... et les basses terres côtières tropicales beaucoup plus riches et qui fournissent le cacao, le coton, les plumes d’oiseaux pour les parures, l'obsidienne, donne lieu aux activités d’une classe spécialisée de marchands, les pochteca. Cette circulation marchande double la circulation des mêmes produits sous la forme du tribut à l’État Aztèque. Sur les immenses marchés de Tenochtitlan, chaque produit ont un lieu de vente déterminé. La vente se réalise à la pièce ou à la mesure. Les jours de marché sont fériés. Des tribunaux spéciaux, contrôlés par les marchands, tranchent les conflits entre vendeurs et acheteurs et le chef des marchands fixe le prix des marchandises. Il est interdit de vendre les produits en dehors des places de marché. Sur les marchés plus petits et dans les localités de moindre envergure, le commerce est aux mains de marchands appelés tlanecuilo. Ils vendent des produits de consommation courante et de la nourriture. Les marchés locaux sont essentiels pour les populations étant donné que les Aztèques n’ont pas d’animaux de trait ou de bât.
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